Holly Day, le jour d'Holly
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Informations : Le "narrateur externe" est omniscient, il connait donc les pensées des personnages et c'est pour cela aussi que je me permet de faire quelques anticipations.
L'histoire a été crée avec la famille Hébert et la participation de Holly Alto, la femme de Martin. J'ai laissé les même vêtements, cheveux et maquillage pour que vous ne soyez pas trop perdus. J'ai utilisé une famille crée par l'ordinateur pour deux raisons :
-La première est que je n'ai pas besoin de vous présenter en détail les personnages, que je juge inutile pour cette histoire.
-Deuxièmement, vous vous y retrouverez plus, avec des personnages que vous connaissez qu'avec des personnages avec des téléchargements enfin je pense ^^. Je joue donc la carte de la simplicité pour les personnages mais une histoire très profonde et assez délicate. Bonne Lecture !
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Narrateur Externe
La fête battait son plein chez les Hébert. Tout le monde dansait. La fête était un succès. Mais derrière ce métissage musicale aux apparences trompeuses, un tout autre scénario pourrait bien se produire pour faire de cette fête, un véritable fiasco.
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Au même moment dans la cuisine ; Martin sourire en coin
Narrateur Martin
J'envie leur insouscience, il ne se doute d'absolument aucune fantaisie à cette soirée, mon plan serait-il parfait ? Je n'y voit aucune faille pour le moment. Enfin, il devrait y avoir aucune faille si tout se passe comme je l'avais prevu. Mais je ne doute pas, je ne dois pas douter de moi-même, c'est un ingredient d'échec... En parlant de cela Maman, tu mangerais bien de la Dinde fumé * ?! Il éclate de rire puis s'arrête brusquement. Ce n'est pas le moment de plaisanter, je dois rester concentrer pour que tout se passe "à merveille".
* Vous comprendrez cette blague idiote plus tard ^^"
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Narrateur Externe
L'instant d'après, Eliane, le teint blafard, parvînt dans la cuisine non sans difficultés, elle semblait déroutée, ses pas ne pouvaient suivre une même ligne. Dans un dernier élan d'espoir, elle demanda " à l'aide mon fils" sans obtenir de réponse positif.
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Martin s'amusa de cet ultime appel au secours de sa propre mère. Il l'imita
" - Au secours, à l'aide, je vais mourrir...
puis il repris un air sérieux, et commença son monologue :
- Tu es pathétique, Mam... Eliane, Comment oses-tu venir me demander ça à moi ? Le fils dont tu as toujours eu honte ?! Martin, tu dois faire ça, comme ça, prend exemple sur ton père, lui qui est si parfait ! Tu m'as reniée durant toute mon enfance, je n'étais qu'un vulgaire petit garçon à tes yeux ! Un parasite qui empiétait ton temps au détriment de ta carrière. Je voulais une mère, tout le monde a besoin d'une mère mais je n'ai malheuresement pas eu cette chance, Tu aurais dû me faire adopter ! En tout cas, ça aurait été préférable. Tu as fais de moi, une machine, tu m'as dicté exactement ce que je dois faire, il n'y a pas de place pour mes opinions personnelles, j'ai même perdu la notion d'humanité. Parfaitement, MAMAN, tu m'as traitée comme un animal qui se voulait humain mais qui échoua. Aujourd'hui c'est terminé, ça va se terminer très bientôt puisque tu t'en va ! On échange les rôles, cette fois-ci, c'est moi qui décide de ta vie ou plutôt de ta mort..."
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Narrateur Externe
Sur ces paroles, Eliane vacilla dangereusement, comme attirée par le sol ; La première étape, sûrement, avant de rejoindre les catacombes.
Narrateur Martin
Je n'avais pas espéré que mon plan marche aussi bien, elle s'évanouit juste devant mes yeux, sans que je n'ai eu besoin de faire quoi que ce soit. C'est louche mais ça tombe merveilleusement au bon moment. Pour parfaire mon plan, il n'y a plus une seconde à perdre, le proccesus a été mis en marche. Je dois juste suivre à la lettre mon plan. Le gratin de courgettes prendra le relais pour moi ! Il faut être assez fou pour faire confiance à des courgettes pour ôter la vie de quelqu'un. Mais bon, tout est suceptible de tuer si cela est manipulé par les mains d'un expert tel que moi. Je ne suis pas fou, je suis juste tellement rusé que je parais être fou allié... Oui, c'est ça, c'est forcement ça ! Je ne pensais pas être si malin. Malin le Martin !
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Narrateur Externe
Devant le corps inanimé de sa mère, Martin semble assez satisfait du résultat. Comme si, tuer sa mère était naturellement la solution finale, que cela marquerait la fin des problèmes mais ce sordide scénario peut être victime de quelques imprevus. En attendant, Martin se hâta de traîner le "cadavre" comme un vulgaire animal même pire.Il s'empressa de la jeter près du four pour qu'elle puisse mieux ressentir, sans doute, les flammes de la vengeance. Après tout, pourquoi offrir une délicieuse mort à une personne aussi cruelle pense-t-il.
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Tuut... Tu...
"-Les Pompiers, j'écoute.
Une voix féminine, plutôt affolée et sanglotante se contenta de balbutier :
- Le feu... Du feu... Partout..."
Puis elle raccrocha. Les pompiers n'écoutant que leur instinct, s'empressèrent de localiser le lieu d'un possible drame. Après tout, cela pouvait s'agir d'une mauvaise blague, peut être bien des jeunes ados immatures qui ont eu une envie soudaine de "triper"... Mais un pompier, en conscience professionnel ne devait pas ignorer un tel appel. Quelques instants plus tard, ils arrivèrent sur les lieux de l'incendie. De l'extérieur, on apercevait, par la fenêtre,la lueur effroyable des flammes qui éclairait la cuisine toute entière. Ainsi, les derniers invités de la fête, assistaient au "spectacle", médusés.
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Au travers des flammes qui recouvraient la pièce, Martin se tenait debout près de celles-ci. Avec une note de sadisme, il observait sa mère, du moins ce qu'il en restait... Quel gachis ! La dinde part en fumée sans que personne ne l'ai vu, quel misère ! pensa-t-il avec amusement Comment pouvait-il rester de marbre devant un tel cauchemard éveillé ?!
(* Quel blague sordide... mais les pensées sordides du personnage ne se contrôlent pas. ><')
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A l'abri des regards indiscrets, Holly assista à la scène du coin de l'oeil comme si tout cela était une grosse mascarade. Elle semblait assez nerveuse ; le visage tendu, les mains moites, puis une sonnerie à peine audible retentit. Elle décrocha le téléphone sans plus attendre. Un mystérieux interlocuteur à la voix grave se fit entendre :
" - Euuh, Bonjour, Les lapins sont rentrés dans leur terrier...
- C'est bon, c'est moi, Abruti ! Tout est prêt ?! répliqua-t-elle visiblement soulagée
-Parfaitement, je t'envoi tous les papiers nécessaires à la sois-disant mutation en Allemagne de ta belle-mère. Dit-il d'un ton assuré et fier.
- Beau Boulot, Lapin nain !"
Puis elle raccrocha sans même attendre la réponse de "Lapin nain".
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Holly s'approcha du coeur de l'incendie. Elle y retrouve bien sûr Martin qui est resté "au chevet de sa mère". Holly entra donc à son tour en scène et démarra avec véritable conviction l'Acte II de cette mascarade.
Oh mon Dieu ! Martin ? Martin ! c'est donc toi, c'est toi qui... enfin ne me dis pas que... C'est toi qui a déclenché ce feu ? Mais tu es malade ou quoi ?! Tu voulais tous nous tuer ? Hein, dis-moi, c'était quoi ton plan ? Puis, les larmes aux yeux, elle repris son discours : Tu voulais tous nous tuer ! J'y crois pas, je ne peux pas y croire... Mais qu'est-ce qui se passe dans ta tête ? Heuresement que je suis déscendu à temps, qui sait si je serait déjà morte à cet instant même... C'est trop horrible, je ne préfère pas y penser. Mais dis-moi, Bon Dieu, dis-moi, dis-moi ce que tu comptais faire de nous ! Cria-t-elle en le secouant.
Evidemment, Martin se sentant déstabilisé, gifla Holly. Un silence pesant s'installa. Les regards se croisaient et se décroisaient, Ils voulait tout dire et en même temps rien dire. Martin s'excusa ensuite, et un peu paniqué lui raconta presque toute la vérité : " Maman s'est approché du feu et tout d'un coup, par un hasardeux accident, son corps tout entier s'enflamme. Et bien sûr, Il n'a rien pu faire, Il était trop tard".
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Le mensonge assez hésitant de Martin est loin d'être crédible. Mais il faut croire qu'en la personne d'Holly, se cache une naïveté infinie. Elle se calma tout de suite après et s'avança à pas léger vers la chaleur éclatante de beauté. Elle leva la tête en direction du ciel et ferma les yeux comme pour adresser une dernière prière à sa belle-mère. Dans l'instant d'après, Holly continua d'appuyer son manège :
"- Mon chéri, ne t'inquiète pas, je serai à tes côtés quoi qu'il arrive, tu le sais toi et moi c'est pour le meilleur et pour le pire.. Je t'aime et c'est tout ce qui compte pour moi, tu es ma chair, mon sang, et je ne vis qu'à travers tes yeux. Alors si tu tombes, je tombes aussi. Je vais t'aider, ne t'en fais pas, on va prétendre à une mutation dans un autre pays comme l'Allemagne. Fais moi confiance, je suis persuadée ta tante et ton père ne se doute de rien, Tu sais comme moi que cela ne les surprendra pas, elle a toujours fait passer sa carrière avant sa famille.. rit-elle nerveusement. Laisse-moi donc faire, je m'occuperai de tout. Allez, va donc te coucher, tu dois être très fatigué..."
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C'est alors que Martin plaça soigneusement les "restes" du cadavre calciné dans un sac poubelle qu'il s'empressa de cacher.
Narrateur Martin
Je n'arrive pas à y croire, je reste bouche-bée. Je suis vraiment très chanceux d'avoir une femme aussi compréhensive et moi, j'ai tout gâché comme à chaque fois.. Je ne pourrais sûrement pas vivre avec ce meurtre sur le dos mais je dois le faire. Oh, Mon petit Martin, ressaisis-toi. Calme toi, tu va trouver une solution après tout, t'es le cerveau du plan. Sauf que je n'avais pas prévu l'arrivée d'Holly qui a fait preuve d'une grande présence d'esprit. Je ne la mérite vraiment pas, je suis un minable, je ne sais même pas comment elle peut m'aimer. Mais qu'est-ce que tu fais Martin, c'est pas le moment de se morphondre. Bon, je vais y arriver un peu de courage, tu dois finir le travail et te débarrasser des restes de Dinde dont personne ne veut.
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Narrateur Externe
Le Lendemain, même s'il avait trouvé en Holly, une âme solidaire qui lui est totalement dévoué, Martin se résigna à suivre son fameux plan : Il lui faudrait une cible de taille afin de lui mettre sur le dos, cet horrible crime. Et il trouva en Xander, la cible idéale. Il était déjà mêlé à pas mal d'histoires louches et bénéficiait d'un casier judiciaire chargé. Martin savait que c'était une proie facile car il était pas sans ignorer que Xander paierait très cher sa prochaine arrestation.
Narrateur Martin
Profites bien de ton précieux temps de liberté car tu n'en aura plus pour très longtemps, mon cher. Il me faudrait juste trouver un moyen de le provoquer... Ce qui est encore trop facile, la clé se trouve sous mes yeux... il faut juste que je la joue fine pour ne pas subir trop de dommages collatéraux.
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Narrateur Externe
Ainsi, pour provoquer son adversaire, rien de meilleur que d'attaquer sa petite-amie. Martin, le sang chaud, il n'aura pas de difficulté à faire démonstration de son impulsivité maladif. Quelques banals reproches, et le ton monte assez vite. Evidemment,bien calculé, Xander ne tarda pas à intervenir à son tour devant la faiblesse et pour l'honneur de sa belle.
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Il n'en eu fallu pas plus pour Xander, ayant les poings faciles, pour frapper Martin qui ne pu s'empecher d'esquisser un petit sourire de satisfaction. Il n'en eu fallu pas moins pour faire arrêter Xander pour coups et bléssures.
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Entendu par les policiers, Martin porte plainte et accuse ouvertement Xander d'être l'auteur prémédité de l'assassinat de sa mère. Mais faute de preuve, la réhabilitation de Xander ne tarda pas à être prononcée. De plus Zelda, a témoigné en sa faveur dans le litige l'opposant à Martin. Les propos de Martin concernant le meurtre de sa mère ont été jugés "prononcés sous le coup de la colère et pour faire flancher son adversaire". En conséquence, aucune enquête n'a lieu d'être ouverte, estiment les policier.
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Et lorsque la lune osa se dévoiler...
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Narrateur Martin
Je me dépêcha de récuperer ma mère, minutieusement rangée dans le profond bordel du garage. Il faut que je fasse vite, de peur qu'ils viennent fouiller ma maison. Alors, je courus, courus, courus à en perdre haleine jusqu'à atteindre le doux sable bleuté de la plage. Je brûla les derniers morceaux restants de ce mauvais souvenir. Je ne pu m'empecher de sourire, sûrement à cause de cette profonde rancoeur que j'éprouvais à l'égard de ce morceau de femme. Voilà, ici s'achève ta mort, ne t'en fais pas, tu pourras aller où bon te semble, laisse toi aller au gré du vent si doux au toucher, laisse les vagues de l'océan te carresse toutes les poussières de ton corps, Crois-moi, tu apprecieras cet ultime voyage vers l'infinie, Surtout ne dis à personne que je t'ai offert ce privilège, ce sera notre petit secret à tous les deux... Tout d'un coup, des pas se firent entendre, ils se rapprochent, je ressens les vibrations du sable. On me lança un "Monsieur Hébert ?" J'écoute avec attention cette douce voix qui me berce. Cet voix, se fait de plus en plus forte, j'ai peur de me retourner et de découvrir son visage, qui m'a surpris dans une fâcheuse position, A trois, je saurais, un.. Deux..
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Trois...
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Mais où suis-je ? Je l'ignore totalement. Et comment suis-je arrivé ici ? Je l'ignore encore. Je ne sais pas ce qui ce passe. J'ai l'impression de perdre contact avec la réalité... Suis-je dans un rêve ? Ou bien viens-je à peine d'en sortir ? J'ignore tout cela. Cela me perturbe. Je ne me reconnais plus, je ne sais plus qui je suis... Suis-je un assassin ? Mes lèvres tremblottent en prononçant ce mot. Assassin... Ce n'est peut être qu'un mauvais cauchemar ou du moins ce n'était qu'un mauvais cauchemard, je l'espère sinon cela voudrait dire que... J'ai tué ma propre mère... Comment aurais-je pu ? C'est impossible. Il semblerait que je me sois laisser aller à quelques rêveries... Tout est confus dans ma tête, je suis au bord de l'implosion, la frontière entre rêve et réalité n'a jamais été aussi mince... Qui est donc cette dame en blouse bleu ? Peut être qu'elle pourra m'apporter les réponses dont j'ai tant besoin. Timide, j'osa enfin demander :
"- Vous... vous savez pourquoi je suis ici ?
-Dis donc, Il semblerait que vous soyez bien amnésique... Cela fait 1 mois que vous avez été interné dans cet hopital. repondit-elle sereinement
- Ce n'est pas possible... Je me souviens, ma mère, l'incendie, et l'océan ...
Tout à coup, elle changea d'expression, un peu plus grave, presque surprise pourtant je ne vois pas ce qui la chamboulait. Peut être bien que c'était vrai alors, je suis un assassin et j'ai véritablement tué ma... Aïe ! Quel est cette sensation de douleur, sur mon bras ? Elle m'a piquée, rien de plus banal pour une infirmière... Mais j'ai un sentiment étrange...
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Au même moment...
Narrateur Holly
Ta fin est proche, mon époux, Toi et moi, c'est à la vie, à la mort. Moi, je vis et toi tu meurt. C'est bien la logique des choses. Mon pauvre garçon, que tu es naïf, tu es une proie idéale. Tu as réussi à tuer ta mère tout de même, sans savoir que tu as été manipulé depuis le début. Je n'en suis pas à mon premier coup, et sache que tu as été la plus délicate des victimes : tantôt rusé, tantôt stupide... En tout cas, tu est loin d'être innocent, tu es coupable, coupable de ta crédulité infantile. Mais au final, le résultat est le même, tu as perdu comme tous les autres d'ailleurs. Tu n'as pas été à la hauteur du défi que j'ai osé te lancer ! C'est encore, un jour de chance pour moi... Les vacances peuvent enfin commencer, mais rassure-toi, pour toi aussi, C'est "Holidays" pour tout le monde ! Ici, s'achève donc ta mort comme tu dirais si bien. Mais je te remercie du fond du coeur pour ce généreux cadeau que tu m'as fait. Cela prouve ton ultime reconnaissance envers ton ultime femme : Mon nom sur ton testament...
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Narrateur Martin
Quelque chose d'étrange est en train de se passer... Plusieurs sentiments me submergent en même temps, j'ai la tête qui tourne, ma vision se trouble,mes paupières sont lourdes et mon corps se veut léger comme une plume. Une lumière aveuglante, là juste devant moi... Je n'arrive plus à penser, suis-je en train de... Je crois que... Que je suis...
FIN
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Informations : Le "narrateur externe" est omniscient, il connait donc les pensées des personnages et c'est pour cela aussi que je me permet de faire quelques anticipations.
L'histoire a été crée avec la famille Hébert et la participation de Holly Alto, la femme de Martin. J'ai laissé les même vêtements, cheveux et maquillage pour que vous ne soyez pas trop perdus. J'ai utilisé une famille crée par l'ordinateur pour deux raisons :
-La première est que je n'ai pas besoin de vous présenter en détail les personnages, que je juge inutile pour cette histoire.
-Deuxièmement, vous vous y retrouverez plus, avec des personnages que vous connaissez qu'avec des personnages avec des téléchargements enfin je pense ^^. Je joue donc la carte de la simplicité pour les personnages mais une histoire très profonde et assez délicate. Bonne Lecture !
[image morte]
Narrateur Externe
La fête battait son plein chez les Hébert. Tout le monde dansait. La fête était un succès. Mais derrière ce métissage musicale aux apparences trompeuses, un tout autre scénario pourrait bien se produire pour faire de cette fête, un véritable fiasco.
[image morte]
Au même moment dans la cuisine ; Martin sourire en coin
Narrateur Martin
J'envie leur insouscience, il ne se doute d'absolument aucune fantaisie à cette soirée, mon plan serait-il parfait ? Je n'y voit aucune faille pour le moment. Enfin, il devrait y avoir aucune faille si tout se passe comme je l'avais prevu. Mais je ne doute pas, je ne dois pas douter de moi-même, c'est un ingredient d'échec... En parlant de cela Maman, tu mangerais bien de la Dinde fumé * ?! Il éclate de rire puis s'arrête brusquement. Ce n'est pas le moment de plaisanter, je dois rester concentrer pour que tout se passe "à merveille".
* Vous comprendrez cette blague idiote plus tard ^^"
[image morte]
Narrateur Externe
L'instant d'après, Eliane, le teint blafard, parvînt dans la cuisine non sans difficultés, elle semblait déroutée, ses pas ne pouvaient suivre une même ligne. Dans un dernier élan d'espoir, elle demanda " à l'aide mon fils" sans obtenir de réponse positif.
[image morte]
Martin s'amusa de cet ultime appel au secours de sa propre mère. Il l'imita
" - Au secours, à l'aide, je vais mourrir...
puis il repris un air sérieux, et commença son monologue :
- Tu es pathétique, Mam... Eliane, Comment oses-tu venir me demander ça à moi ? Le fils dont tu as toujours eu honte ?! Martin, tu dois faire ça, comme ça, prend exemple sur ton père, lui qui est si parfait ! Tu m'as reniée durant toute mon enfance, je n'étais qu'un vulgaire petit garçon à tes yeux ! Un parasite qui empiétait ton temps au détriment de ta carrière. Je voulais une mère, tout le monde a besoin d'une mère mais je n'ai malheuresement pas eu cette chance, Tu aurais dû me faire adopter ! En tout cas, ça aurait été préférable. Tu as fais de moi, une machine, tu m'as dicté exactement ce que je dois faire, il n'y a pas de place pour mes opinions personnelles, j'ai même perdu la notion d'humanité. Parfaitement, MAMAN, tu m'as traitée comme un animal qui se voulait humain mais qui échoua. Aujourd'hui c'est terminé, ça va se terminer très bientôt puisque tu t'en va ! On échange les rôles, cette fois-ci, c'est moi qui décide de ta vie ou plutôt de ta mort..."
[image morte]
Narrateur Externe
Sur ces paroles, Eliane vacilla dangereusement, comme attirée par le sol ; La première étape, sûrement, avant de rejoindre les catacombes.
Narrateur Martin
Je n'avais pas espéré que mon plan marche aussi bien, elle s'évanouit juste devant mes yeux, sans que je n'ai eu besoin de faire quoi que ce soit. C'est louche mais ça tombe merveilleusement au bon moment. Pour parfaire mon plan, il n'y a plus une seconde à perdre, le proccesus a été mis en marche. Je dois juste suivre à la lettre mon plan. Le gratin de courgettes prendra le relais pour moi ! Il faut être assez fou pour faire confiance à des courgettes pour ôter la vie de quelqu'un. Mais bon, tout est suceptible de tuer si cela est manipulé par les mains d'un expert tel que moi. Je ne suis pas fou, je suis juste tellement rusé que je parais être fou allié... Oui, c'est ça, c'est forcement ça ! Je ne pensais pas être si malin. Malin le Martin !
[image morte]
Narrateur Externe
Devant le corps inanimé de sa mère, Martin semble assez satisfait du résultat. Comme si, tuer sa mère était naturellement la solution finale, que cela marquerait la fin des problèmes mais ce sordide scénario peut être victime de quelques imprevus. En attendant, Martin se hâta de traîner le "cadavre" comme un vulgaire animal même pire.Il s'empressa de la jeter près du four pour qu'elle puisse mieux ressentir, sans doute, les flammes de la vengeance. Après tout, pourquoi offrir une délicieuse mort à une personne aussi cruelle pense-t-il.
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Tuut... Tu...
"-Les Pompiers, j'écoute.
Une voix féminine, plutôt affolée et sanglotante se contenta de balbutier :
- Le feu... Du feu... Partout..."
Puis elle raccrocha. Les pompiers n'écoutant que leur instinct, s'empressèrent de localiser le lieu d'un possible drame. Après tout, cela pouvait s'agir d'une mauvaise blague, peut être bien des jeunes ados immatures qui ont eu une envie soudaine de "triper"... Mais un pompier, en conscience professionnel ne devait pas ignorer un tel appel. Quelques instants plus tard, ils arrivèrent sur les lieux de l'incendie. De l'extérieur, on apercevait, par la fenêtre,la lueur effroyable des flammes qui éclairait la cuisine toute entière. Ainsi, les derniers invités de la fête, assistaient au "spectacle", médusés.
[image morte]
Au travers des flammes qui recouvraient la pièce, Martin se tenait debout près de celles-ci. Avec une note de sadisme, il observait sa mère, du moins ce qu'il en restait... Quel gachis ! La dinde part en fumée sans que personne ne l'ai vu, quel misère ! pensa-t-il avec amusement Comment pouvait-il rester de marbre devant un tel cauchemard éveillé ?!
(* Quel blague sordide... mais les pensées sordides du personnage ne se contrôlent pas. ><')
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A l'abri des regards indiscrets, Holly assista à la scène du coin de l'oeil comme si tout cela était une grosse mascarade. Elle semblait assez nerveuse ; le visage tendu, les mains moites, puis une sonnerie à peine audible retentit. Elle décrocha le téléphone sans plus attendre. Un mystérieux interlocuteur à la voix grave se fit entendre :
" - Euuh, Bonjour, Les lapins sont rentrés dans leur terrier...
- C'est bon, c'est moi, Abruti ! Tout est prêt ?! répliqua-t-elle visiblement soulagée
-Parfaitement, je t'envoi tous les papiers nécessaires à la sois-disant mutation en Allemagne de ta belle-mère. Dit-il d'un ton assuré et fier.
- Beau Boulot, Lapin nain !"
Puis elle raccrocha sans même attendre la réponse de "Lapin nain".
[image morte]
Holly s'approcha du coeur de l'incendie. Elle y retrouve bien sûr Martin qui est resté "au chevet de sa mère". Holly entra donc à son tour en scène et démarra avec véritable conviction l'Acte II de cette mascarade.
Oh mon Dieu ! Martin ? Martin ! c'est donc toi, c'est toi qui... enfin ne me dis pas que... C'est toi qui a déclenché ce feu ? Mais tu es malade ou quoi ?! Tu voulais tous nous tuer ? Hein, dis-moi, c'était quoi ton plan ? Puis, les larmes aux yeux, elle repris son discours : Tu voulais tous nous tuer ! J'y crois pas, je ne peux pas y croire... Mais qu'est-ce qui se passe dans ta tête ? Heuresement que je suis déscendu à temps, qui sait si je serait déjà morte à cet instant même... C'est trop horrible, je ne préfère pas y penser. Mais dis-moi, Bon Dieu, dis-moi, dis-moi ce que tu comptais faire de nous ! Cria-t-elle en le secouant.
Evidemment, Martin se sentant déstabilisé, gifla Holly. Un silence pesant s'installa. Les regards se croisaient et se décroisaient, Ils voulait tout dire et en même temps rien dire. Martin s'excusa ensuite, et un peu paniqué lui raconta presque toute la vérité : " Maman s'est approché du feu et tout d'un coup, par un hasardeux accident, son corps tout entier s'enflamme. Et bien sûr, Il n'a rien pu faire, Il était trop tard".
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Le mensonge assez hésitant de Martin est loin d'être crédible. Mais il faut croire qu'en la personne d'Holly, se cache une naïveté infinie. Elle se calma tout de suite après et s'avança à pas léger vers la chaleur éclatante de beauté. Elle leva la tête en direction du ciel et ferma les yeux comme pour adresser une dernière prière à sa belle-mère. Dans l'instant d'après, Holly continua d'appuyer son manège :
"- Mon chéri, ne t'inquiète pas, je serai à tes côtés quoi qu'il arrive, tu le sais toi et moi c'est pour le meilleur et pour le pire.. Je t'aime et c'est tout ce qui compte pour moi, tu es ma chair, mon sang, et je ne vis qu'à travers tes yeux. Alors si tu tombes, je tombes aussi. Je vais t'aider, ne t'en fais pas, on va prétendre à une mutation dans un autre pays comme l'Allemagne. Fais moi confiance, je suis persuadée ta tante et ton père ne se doute de rien, Tu sais comme moi que cela ne les surprendra pas, elle a toujours fait passer sa carrière avant sa famille.. rit-elle nerveusement. Laisse-moi donc faire, je m'occuperai de tout. Allez, va donc te coucher, tu dois être très fatigué..."
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C'est alors que Martin plaça soigneusement les "restes" du cadavre calciné dans un sac poubelle qu'il s'empressa de cacher.
Narrateur Martin
Je n'arrive pas à y croire, je reste bouche-bée. Je suis vraiment très chanceux d'avoir une femme aussi compréhensive et moi, j'ai tout gâché comme à chaque fois.. Je ne pourrais sûrement pas vivre avec ce meurtre sur le dos mais je dois le faire. Oh, Mon petit Martin, ressaisis-toi. Calme toi, tu va trouver une solution après tout, t'es le cerveau du plan. Sauf que je n'avais pas prévu l'arrivée d'Holly qui a fait preuve d'une grande présence d'esprit. Je ne la mérite vraiment pas, je suis un minable, je ne sais même pas comment elle peut m'aimer. Mais qu'est-ce que tu fais Martin, c'est pas le moment de se morphondre. Bon, je vais y arriver un peu de courage, tu dois finir le travail et te débarrasser des restes de Dinde dont personne ne veut.
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Narrateur Externe
Le Lendemain, même s'il avait trouvé en Holly, une âme solidaire qui lui est totalement dévoué, Martin se résigna à suivre son fameux plan : Il lui faudrait une cible de taille afin de lui mettre sur le dos, cet horrible crime. Et il trouva en Xander, la cible idéale. Il était déjà mêlé à pas mal d'histoires louches et bénéficiait d'un casier judiciaire chargé. Martin savait que c'était une proie facile car il était pas sans ignorer que Xander paierait très cher sa prochaine arrestation.
Narrateur Martin
Profites bien de ton précieux temps de liberté car tu n'en aura plus pour très longtemps, mon cher. Il me faudrait juste trouver un moyen de le provoquer... Ce qui est encore trop facile, la clé se trouve sous mes yeux... il faut juste que je la joue fine pour ne pas subir trop de dommages collatéraux.
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Narrateur Externe
Ainsi, pour provoquer son adversaire, rien de meilleur que d'attaquer sa petite-amie. Martin, le sang chaud, il n'aura pas de difficulté à faire démonstration de son impulsivité maladif. Quelques banals reproches, et le ton monte assez vite. Evidemment,bien calculé, Xander ne tarda pas à intervenir à son tour devant la faiblesse et pour l'honneur de sa belle.
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Il n'en eu fallu pas plus pour Xander, ayant les poings faciles, pour frapper Martin qui ne pu s'empecher d'esquisser un petit sourire de satisfaction. Il n'en eu fallu pas moins pour faire arrêter Xander pour coups et bléssures.
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Entendu par les policiers, Martin porte plainte et accuse ouvertement Xander d'être l'auteur prémédité de l'assassinat de sa mère. Mais faute de preuve, la réhabilitation de Xander ne tarda pas à être prononcée. De plus Zelda, a témoigné en sa faveur dans le litige l'opposant à Martin. Les propos de Martin concernant le meurtre de sa mère ont été jugés "prononcés sous le coup de la colère et pour faire flancher son adversaire". En conséquence, aucune enquête n'a lieu d'être ouverte, estiment les policier.
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Et lorsque la lune osa se dévoiler...
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Narrateur Martin
Je me dépêcha de récuperer ma mère, minutieusement rangée dans le profond bordel du garage. Il faut que je fasse vite, de peur qu'ils viennent fouiller ma maison. Alors, je courus, courus, courus à en perdre haleine jusqu'à atteindre le doux sable bleuté de la plage. Je brûla les derniers morceaux restants de ce mauvais souvenir. Je ne pu m'empecher de sourire, sûrement à cause de cette profonde rancoeur que j'éprouvais à l'égard de ce morceau de femme. Voilà, ici s'achève ta mort, ne t'en fais pas, tu pourras aller où bon te semble, laisse toi aller au gré du vent si doux au toucher, laisse les vagues de l'océan te carresse toutes les poussières de ton corps, Crois-moi, tu apprecieras cet ultime voyage vers l'infinie, Surtout ne dis à personne que je t'ai offert ce privilège, ce sera notre petit secret à tous les deux... Tout d'un coup, des pas se firent entendre, ils se rapprochent, je ressens les vibrations du sable. On me lança un "Monsieur Hébert ?" J'écoute avec attention cette douce voix qui me berce. Cet voix, se fait de plus en plus forte, j'ai peur de me retourner et de découvrir son visage, qui m'a surpris dans une fâcheuse position, A trois, je saurais, un.. Deux..
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Trois...
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Mais où suis-je ? Je l'ignore totalement. Et comment suis-je arrivé ici ? Je l'ignore encore. Je ne sais pas ce qui ce passe. J'ai l'impression de perdre contact avec la réalité... Suis-je dans un rêve ? Ou bien viens-je à peine d'en sortir ? J'ignore tout cela. Cela me perturbe. Je ne me reconnais plus, je ne sais plus qui je suis... Suis-je un assassin ? Mes lèvres tremblottent en prononçant ce mot. Assassin... Ce n'est peut être qu'un mauvais cauchemar ou du moins ce n'était qu'un mauvais cauchemard, je l'espère sinon cela voudrait dire que... J'ai tué ma propre mère... Comment aurais-je pu ? C'est impossible. Il semblerait que je me sois laisser aller à quelques rêveries... Tout est confus dans ma tête, je suis au bord de l'implosion, la frontière entre rêve et réalité n'a jamais été aussi mince... Qui est donc cette dame en blouse bleu ? Peut être qu'elle pourra m'apporter les réponses dont j'ai tant besoin. Timide, j'osa enfin demander :
"- Vous... vous savez pourquoi je suis ici ?
-Dis donc, Il semblerait que vous soyez bien amnésique... Cela fait 1 mois que vous avez été interné dans cet hopital. repondit-elle sereinement
- Ce n'est pas possible... Je me souviens, ma mère, l'incendie, et l'océan ...
Tout à coup, elle changea d'expression, un peu plus grave, presque surprise pourtant je ne vois pas ce qui la chamboulait. Peut être bien que c'était vrai alors, je suis un assassin et j'ai véritablement tué ma... Aïe ! Quel est cette sensation de douleur, sur mon bras ? Elle m'a piquée, rien de plus banal pour une infirmière... Mais j'ai un sentiment étrange...
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Au même moment...
Narrateur Holly
Ta fin est proche, mon époux, Toi et moi, c'est à la vie, à la mort. Moi, je vis et toi tu meurt. C'est bien la logique des choses. Mon pauvre garçon, que tu es naïf, tu es une proie idéale. Tu as réussi à tuer ta mère tout de même, sans savoir que tu as été manipulé depuis le début. Je n'en suis pas à mon premier coup, et sache que tu as été la plus délicate des victimes : tantôt rusé, tantôt stupide... En tout cas, tu est loin d'être innocent, tu es coupable, coupable de ta crédulité infantile. Mais au final, le résultat est le même, tu as perdu comme tous les autres d'ailleurs. Tu n'as pas été à la hauteur du défi que j'ai osé te lancer ! C'est encore, un jour de chance pour moi... Les vacances peuvent enfin commencer, mais rassure-toi, pour toi aussi, C'est "Holidays" pour tout le monde ! Ici, s'achève donc ta mort comme tu dirais si bien. Mais je te remercie du fond du coeur pour ce généreux cadeau que tu m'as fait. Cela prouve ton ultime reconnaissance envers ton ultime femme : Mon nom sur ton testament...
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Narrateur Martin
Quelque chose d'étrange est en train de se passer... Plusieurs sentiments me submergent en même temps, j'ai la tête qui tourne, ma vision se trouble,mes paupières sont lourdes et mon corps se veut léger comme une plume. Une lumière aveuglante, là juste devant moi... Je n'arrive plus à penser, suis-je en train de... Je crois que... Que je suis...
FIN