Il était une fois...
Akira Goo vient du Japon. Elle s'est installé avec son frère, Moki Goo, à Sunset Valley. Son rêve est de faire carrière dans la musique, son frère quand à lui souhaite devenir président des Etats-Unis. Mais un malheur va un jour s’abattre sur ce foyer: la mort de Moki. Akira perdra goût à la vie. Sa meilleure amie essayera de l'aider... Elle découvrira la vie autrement, mais elle va aussi la redécouvrir.[image morte]
Episode 1:
Episode 1: La triste nouvelle
- Salut Akira. Je me demandais si tout allait bien chez toi... Tu as eu le temps de préparer les obsèques de ton frère ?
Je suis gênais... Comment ai-je pue oublier de prévoir les obsèques d'une personne aussi chère que mon frère ? Je répond avec tristesse:
- Non Emilie, je suis vraiment désolé, je ne sais pas ce qui m'a prit...
- Ne t'inquiète pas ! Je viendrai demain chez toi pour t'aider !
- Non, non, non ! Ce n'est pas la peine !
Malheureusement, Emilie avait déjà raccrochée. Emilie est si bienveillante, que lui refuser quelques chose n'est pas si facile. Enfin, c'est n'est pas si grave.
- Salut Emilie...
- Salut Akira ! Alors... Ca fait longtemps que je ne suis pas venue chez toi... Ca devient quoi ?
Je me dirige vers la porte d'entré, je l'ouvre pour Emilie qui entre en première. J'entend de loin un "Ouh là là !". J'entre à mon tour.
- C'est vrai que je ne supporte pas la saleté...
Derrière Emilie, j'ai pris le temps de ranger quelques pochettes de disques. Tout semblait parfait. Je fais signe à Emilie que ma maison n'a pas d'importance, et qu'il faudra passer dans le vif du sujet. Etrangement, j'ai eu un énorme courage pour me lancer en route vers la tombe de Moki. Puis, petit à petit, le chagrin me ronge. Emilie me suit de près, je tombe en larme sur son épaule gauche.
Comme à mon habitude, j'ai du mal à l'écouter.
- Oui mais ce que je voudrai c'est qu'il soit à côté de moi !!!
Je tombe vraiment en larme. Le blouson d'Emilie est devenu humide, elle a commencer à lâcher quelques larmes. Le choque est de taille à la mort d'un proche. Il faut comprendre que Emilie a pris du temps avant de comprendre ma souffrance. Elle n'était pas une grande amie de Moki. Il est tant de préparer les obsèques de Moki avec Emilie.
- Oui, ce sont de vieux amis... Il n'a pas dû les contacter depuis longtemps...
Je lâche un soupir, puis je me résolu à l'idée de faire des obsèques en silence. Je propose l'idée à Emilie qui l'accepte, puis nous partons pour le cimetière.
- Nous sommes nés le même jour: le 28 mars 1985. On avait le même âge...
- Tu sais, je te comprend. J'ai aussi perdu un proche qui m'a beaucoup aidé à me lancer dans la vie active.
Nous avons échangé un petit sourire d'amitié, puis j'éclatais en sanglot. Je crois que je ne pourrais jamais oublier ce passage, ni les sensations qui suivent: le confort du siège de la voiture d'Emilie, la fraîcheur d'hiver... Puis, petit à petit, je vide ma tête de toute pensées néfastes, et j'avance dans le cimetière.
Episode 2:
Episode 2: Toc toc toc
Après les obsèques de mon frère, j’ai dû aller travailler, car mon patron n’est pas du genre à ménager ses employés. A mon retour chez moi, j’ai reçue un message d’Emilie sur mon téléphone: “Je te souhaite bonne nuit, et bon courage !”. J’ai pris une douche délicieuse, et je me suis éfrondée sur mon lit. Je rêve. Je rêve que mon frère est toujours là, ou bien qu’il est en train de m’écouter jouer de la guitare sur scène. Je rêve aussi que je deviens une Rockstar et que je fais une immense tournée autour du monde ! Les rêves sont si beaux... Mais, soudain, un bruit étrange venant de la salle de bain vient me réveiller.
- Bonjour, vous êtes le propriétaire de ce concessionnaire ?
- Si si señorita ! Buenos dias ! Como està ? Si buen ? Y que t'interressar ?
Le vendeur semble parler espagnol... On pouvait s'en douter vu le nom du magasin, mais je continue la discussion:
- Combien pour cette...
- Si, la bueno routé ! 5982$.
Le prix ne rentre pas dans mon budget, j'espère donc que le vendeur serra clément et j'entame une négociation:
- Et si je payais en 5 fois ?...
- No.
- Il n'y a pas d'options en trop ?...
- Si, los pneus, la vitra, los siegeos...
Je pousse un soupir. Puis je sors toute mes économies pour prendre la voiture en entier.
- Ca pourrais être... Un fantôme ?
Je ris un peu.
- Non, ce n'est pas possible, les fantômes n’existent pas !
- Ton frère n'était pas un peu bricoleur ?
Soudain, j'ai eu un flash. Tout coïncide parfaitement avec ce que vient de dire Emilie: mon frère était un grand bricoleur qui réparait plusieurs fois la douche quand elle tombait en panne. Le "Toc, toc, toc" ressemblait bien à un bruit de marteau. Emilie reprit:
- Si tu veux, on pourrait chercher un "medium" qui habite quelques part en ville.
- Peut-être qu'on devrait faire ça pour s'informer...
Soudain, nous sommes interrompu par une personne. Il s'agit du directeur de la boîte, totalement décontracté, qui me remarque tout de suite:
- Vous êtes bien Akira Goo ! Une futur star, j'en suis sûr ! Venez donc jouer un peu pour nous !
Episode 3 :
C'est ainsi que mon réveille-radio me pousse hors de mon lit. Je remarque que hier, je me suis endormie sur mon livre. Il faut dire qu'il est sacrément ennuyeux. Soudain, je me rend compte que je suis en retard au travail. Et comme le hasard fait bien les choses, mon patron ne déteste que deux choses: le lobby contre les sandwichs au fromage fondu et les retards: c'est bien ma veine. Je fonce vers ma commode pour mettre mon uniforme, tâché après toutes ces heures de travail. Ensuite, j'avale rapidement une barre chocolaté et je fonce vers la voiture de mon collègue, qui m'avait promis la dernière fois de m'amener au travail avec son véhicule.
- Angélique, tu n'as pas rit de mon histoire tout à l'heure...
- Dans ma famille, mon lointain cousin connait une sorte de personne qui travail dans le mausolée de la ville. Il raconte qu'une fois la nuit tombé, vers minuit, les fantômes sortent de leur tombe pour s'informer du monde extérieur.
J'ai eu un froid dans le dos. Je mis fin à la discussion car notre équipe devait repartir travailler.
- Bien. Mademoiselle Goo, j'ai une annonce importante à vous faire.
- Heu... Oui.. C'est... Vous savez... Si je n'ai pas assez travailler... Je peux y remédier !...
Il éclate de rire. Puis il me rassure qu'il ne compte pas me licencier:
- Ne vous inquiétez pas, je ne souhaite pas virer un pilier aussi important que vous ! Vous vous souvenez de notre planing, celui qu'on avait écrit dimanche dernier ?
- Les... Les... Heures supplémentaires ?... La réunion ?...
- Oui, si vous voulez. C'est bizarre que vous ne vous souvenez pas de ce jour-là, car nous avons fixé le jour des promotions ! Aujourd'hui, les groupes de chansons populaires ont besoins de nouveaux managers ! Nous avons bien sûr sélectionner le meilleur. Et vous vous souvenez que vous avez été choisis comme étant la manager du groupe "The Town" ?
Je suis tout simplement surprise d'avoir oublié ce jour, mais ce n'est pas la première fois que j'ai un oubli. Puis, je commence à être heureuse. Ces deux émotions mélangées font bon ménage ! Le patron me donne mon nouvel uniforme, ou plutôt ma nouvelle tenue personnel pour aller travailler, et me souhaite une bonne soirée. Je fais un tour au vestiaire pour tester cette nouvelle tenue. Je sors du théâtre, et je me vois avec ce nouvelle habit. Je lâche un soupir de soulagement, puis je rentre chez moi.
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Mais, je jette un oeil aux cieux, et j'ai envie de regarder les étoiles. Je me dirige vers la falaise la plus basse, pour contempler l'océan en même temps que le ciel étoilé. C'est si beau, si chaud. Je ne remarque même pas la fraîcheur de cette soirée d'hiver. Les étoiles sont comme des notes de musiques: Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do. Puis ça recommence d'un autre côté, puis de l'autre. Les vaguelettes de la mer est comme un métronome qui contrôle cet orchestre. Je vois les cieux valsés. Cela me donne une idée...[image morte]
Je commence à entraîner ma voix: Do Si Do Ré La Si Sol. Je recommence plusieurs fois, jusqu'à que je trouve un air aussi ressemblant sur ma guitare. Puis je chante:Les étoiles ressemblent à des plumes
La mer ressemble à une soupe chaleureuse
Ainsi va la vie
Je répète plusieurs fois ce poème d'une façon poétique, puis je commence à gratter l'air sur ma guitare. Vous l'avez compris, il s'agit d'un petit Haïku. C'est un petit poème japonais qui a souvent un rapport avec la nature. Le mien n'est pas superbe mais je crois que c'est un bon début. Je regarde ma montre: 00h00 pile. Je ressens un petit froids, puis une idée étrange me traverse l'esprit.La mer ressemble à une soupe chaleureuse
Ainsi va la vie
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Je ne sais pas où va me mener cette idée, mais peut-être qu'elle va me faire avancer. J'ai déjà fais mon deuil, mais je souffre encore. Et cette idée est meilleur que tous les "mediums" possibles. Elle est irréaliste peut-être, mais qui sait. Ce que j'ai dans le tête: aller au cimetière et savoir si des esprits hantent belle et bien les lieux ! J'ai déjà entendu parlé des films de fantômes où ceux-ci n’apparaissent même pas ou sous forme de geste, alors mes espoirs de les voir serrait quasi nul mais les sentir peuvent être plus facile.[image morte]
Non, malheureusement rien. Ce qui est sûr, c'est que je n'ai pas des pouvoirs surnaturel digne d'une "Medium". Mais je me sens mieux, je suis plus rassuré. Si les fantômes pouvaient se promener librement, j'aurai paniquer chaque soir. Je ne pourrais jamais dormir. Heureusement que ce n'est pas le cas. A moins que le contraire sois beaucoup plus sympathique que ce que je m'imagine. Je parle à mon frère de ma promotion, de la journée d'hier, de la journée d'aujourd'hui. Puis je me dirige vers la sortie, je dois rentrer dormir.[image morte]
Episode 4:
- Alors, on recherche un proche disparut ? Bien sûr que vous le recherché ! Mais cela vous coûtera plus que prévu !
Des billets tombèrent du ciel, l'un d'eux m'emporta. Le vampire se transforma en chauve-souris et le voyant-medium disparut. Je me réveille en sursaut.
- Emilie, c'est Akira. Il parait qu'une épidémie de gastro se propage sur toute la ville ! Viens vite chez moi pour éviter de l'attraper !
Demander à Emilie de prendre une journée de repos, ce n'est pas une chose facile. Mais lui faire une farce, cela en est une autre ! J'appel désormais Angélique:
- Angélique, le patron assiste au mariage de sa fille, alors aujourd'hui on ne travaille pas ! Viens chez moi, on va fêter ça !
Je ne sais pas quel effet cette autre farce aura sur Angélique, mais elle serra sûrement bénéfique pour mon cas.
- Vous êtes bien dans mon répondeur, si je ne répond pas c'est peut-être car je suis déjà en route chez vous ! Ne me laissez pas de message, mais laissez moi prendre ma tante, ma voiture et ma boule enfin je veux dire mon gnome et je viendrai dans peu de temps ! Biiiiip.
Pourtant, on ne vois rien devant lui. Je commence à avoir peur. Il a l'air d'être vraiment fou. Ou alors, c'est juste une impression...
- Ô gnome magique, contact Moki Goo pour nous !
La table commence à bouger. Je commence à avoir sérieusement peur car le "medium" a réussi à deviné le prénom de mon frère et notre nom de famille ! Soudain, le gnome parla:
- Vous êtes bien sur le répondeur de Wake Miller, veuillez laisser un message après le bip sonore.
M. Jack commence à rougir. Je regarde en dessous de la table et je vois: un téléphone, un bloc-notes et un dossier. Je ne pense qu'à une seule chose: m'évanouir. Et c'est ce que je fais.
Episode 5:
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Episode 1
Episode 1: Un manque d'ambition
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Cela fait deux mois que je ne monte en hiérarchie dans mon travaille. Pourtant, je ne souhaite pas avancer. Mais je suis loin d'être tombée dans une longue dépression ! Loin de cela, je me sens étrange... Après ce qui s'est passé, j'ai l'impression de porter de lourds affaires sur mes épaules. Mais d'un autre côté, je me suis fais tellement rassurée par ma meilleure amie que je ne sens rien... Un peu comme si je m'étais perchée sur la Lune, là où tout semble flotter, d'après ce que disent les magazines de science. D'ailleurs, j'en ai lu tellement ! Désormais, je sais tout sur tout sauf sur ce qui ne me regarde pas. Et c'est dommage, mes voisins ont un don pour tout ce qui est "ragots bien cuits" et autre bricole. A part tout cela, une nouvelle journée commence ! Je me lève difficilement de mon lit, la soirée a été rude.[image morte]
Il fait beau. Je décide de prendre mon petit-déjeuner dehors. Habituellement, quand il fait aussi bon à l'extérieur, j'en profite pour appeler Emilie. Mais malheureusement, elle a déménagé. Je me rappellerai toujours de tous ces bons moments qu'on a passé ensemble... Le jour où elle était partie, pour moi, a été un véritablement déchirement. Mais, sa phrase étrange m'a remonté le morale: "Continues de regarder devant toi, notre amitié durera sans cesse !". Rien que le doux son poétique de sa voix en la prononçant me fait penser aux Haïku que je chantais en fin janvier, quand il faisait encore froid. Je voudrai revivre ce mois... Loin de toute l'actualité qui me choque en ce moment. Je devrai peut-être retourner dans mon pays pour voir si ma famille va bien... Mais, je n'en ai pas le courage... Si je devais dire cela à n'importe quel survivant, il serrait sûrement d'une de ces colères, et il aurait raison. Je termine mon petit déjeuner, pour aller me promener au parc.[image morte]
En chemin, je continue à penser à ce que je venais de dire. Puis je compare la phrase saine d'Emilie, et ma phrase malsaine. "Malheur", c'est ce qui définit parfaitement cette comparaison. Je dois me convaincre d'en faire le contraire, d'aller rendre visite à ma famille en ne pensant qu'à la phrase de ma meilleure amie ! Et pour aller plus loin, je lui rendrai visite à mon tour ! Mais, j'ai besoin de réunir mes économies pour faire un voyage aussi grand. J'ai besoin de beaucoup de repos. J'aime ma nouvelle décision. Elle peut contrer mon ancienne avis d'un trait, en étant juste retravaillé... En me donnant juste du courage... Si la vie était simplement posée sur de simples décisions précises et travaillées, les problèmes n'auraient plus de raisons d'exister. Je peux tout de même me tromper, comme tout le monde. J'arrive enfin au parc.
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Je m'assieds sur la fontaine. J'essaye de me remonter le morale, et d'éviter de penser comme cela. Si tout le monde ne ferait que cela, que deviendrions nous ? A quoi d'autre pourrais-je penser... Les bons souvenirs de Moki... Les bons souvenirs d'Emilie... J'en conclus que les meilleurs partent en premier. Les derniers sont les pires. Suis-je la plus mauvaise personne de la bande ? Ou ce n'est que ce dicton qui se trompe ? Non. Je n'y crois pas. Ceci est tout simplement faux. Comme les meilleurs pourraient-ils côtoyés les pires ? Cela me rassure grandement. Il n'y a pas de pire, il y a juste les meilleurs et les normaux. Je devrais bannir ce dicton de mon vocabulaire, il n'a pas lieu d'être. Encore moins de permettre de ressembler à une personne sympathique. Je décide de changer de place assise pour aller m’asseoir sur le banc.
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Je revois encore ce vide à côté de moi. Peut-être devrais-je rencontrer l'âme-soeur ? Peut-être est-ce une bonne idée... Je devrais commencer par réunir toutes mes qualités: Energique... Puis... Grande compositrice ! Non, ce n'est pas très modeste... Alors... Pessimiste ? Non, ce n'est pas une qualité... Finalement, je devrais commencer par me connaître moi-même. Ou bien, commencer par mes defaults... Pleurnichade... Pessimiste... Triste... Ou bien, devrais-je mentir sur ma personnalité ? Non, de toute façon, celui que je rencontrerai s'en rendra compte... Je décide donc d'aller à la gallerie d'art, me changer les idées.
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J'ai toujours trouvé les oeuvres d'arts étrangement jolies malgré leur simplicité, et c'est cela qui me plait ! Je fais toujours un rituel avant d'entrer dans la galerie: je me vide l'esprit de toute pensée négative pour n'avoir qu'à réfléchir sur le beau de l'art. J'ai parfois l'impression de penser pour rien quand personne n'est avec moi. Je décide de me rendre au cimetière.
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Une fois arrivé, je me dépêche de raconter mes dernières heures passés à Moki. Peut-être qu'il m'entend, qui sait ? Si ce serrait vraiment le cas, cela me ferait plaisir. Je lui dis:
<< Si tu m'entends, avec tout ce que je t'ai dis, tu pourras faire un roman en un mois ! >>
Puis j'éclate de rire et de sanglot, en même temps. Je vais m'asseoir un peu, près de la statue qui trône le cimetière. Après quelques instants de repos, je décide d'aller pêcher au lac, non-loin de chez moi. Je pêche rarement, mais une fois lancée, je suis prête à attraper des saumon et des truites assez conséquent...
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Il n'y a pas beaucoup de poissons aujourd'hui. Quelques anchois et sardines, puis plus rien d'autre. Je trouve cela dommage... Dire que j'aurais pu préparer quelques sushis avec de gros poissons. Mais je ne me décourage pas pour autant, je reviendrai sûrement pêcher la prochaine fois. Je décide d'explorer un peu la plaine. Parfois, on y trouve des endroits étranges...
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Je tombe sur une peinture murale. Etrangement, cette peinture représente une tribu qui se fait enlever par des extraterrestres... Cela me fait penser à un jeu vidéo dont je ne me rappelle plus trop du nom... Tant pis. D'ailleurs, ce n'est peut-être qu'une peinture murale fait par des farceurs du premier avril. Je regarde l'heure: je suis grandement en retard pour me rendre au travail ! Je me dirige vers ma voiture et je fonce vers mon endroit de travaille: le théâtre.
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Je me sens un peu bizarre. Je repense à ce matin, quand je me suis levée du lit. Je me suis dis que je manquais d'ambition, et maintenant que je suis en face de mon patron, je comprends pourquoi il ne me donne pas de promotion... Mon employeur est un véritable "Bulldog des affaires" ! Ce qui compte, pour lui, c'est l'argent. Il n'y a qu'à voir sa tenue: costard-cravate, avec des billets plein les poches, en regardant toujours sa montre et en disant à ses employés: "le temps, c'est de l'argent !". J'oublie très vite cette allusion car je dois finir ce que j'ai à faire: préparer le film de ce soir. Vers 21:00, tout est fin prêt ! Je prend congé et je rentre chez moi.
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Je me sers un bol de céréales avant de me coucher. Puis une douche, et je me dirige vers mon lit. Je prend une dizaine de secondes pour regarder les finitions parfaites des travaux d'agrandissement de ma maison. Certes, c'est un légèrement plus grand, mais grâce à ce petit espace de gagné, je peux mettre mon lit dans une zone bien dégagée, tout en ayant une table à son ancien emplacement. Je mets mon pyjama, et je m'endors profondément.
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Je commence à rêver. Je suis dans une sorte de boîte. J'ai l'impression que c'est un cercueil, et je comprend tout de suite que je suis en train de faire un cauchemar. Pourtant, dans cette rêverie, je suis bien vivante. Qu'est-ce que ça peu bien être comme pièce alors ? Il n'y a ni porte, ni fenêtre, ni lumière.
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Comme dans tous les rêves, on ne peut se contrôler à parfois moment. Et je commence justement à composer sur ma guitare un morceau très rythmique. Mon rêve semble s'éloigner de la réalité. Je suis en train de jouer une musique électronique avec une guitare acoustique. Ceci dis, j'essaye de retenir en mémoire les mouvements de ma main. Je ne sais pas si c'est faisable dans la réalité, mais qui sait ? Peut-être est-ce un rêve prémonitoire ? Mon cauchemar-rêve commence à s’aggraver: tout devient noir...
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Je me réveille en sursaut ! Cet étrange rêve m'a fait une de ces frayeurs ! C'est vraiment étrange ce que notre inconscient peut créer... Et parfois prendre le dessus sur notre subconscient... Mais je ne m'inquiète pas trop pour cela, je me recouche en essayant de retrouver le sommeil.
Demain serra un jour meilleur...
C'est la première fois que j'écris une histoire de sim, si quelques chose ne vous va pas je suis ouverte à toute réclamation et tout commentaire ^o^.